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Ce roman retrace les péripéties souvent cocasses d’une fillette métisse se trouvant confrontée à plusieurs styles de vie, à plusieurs modes de pensée et d’éducation. Pourra-t-elle réaliser ses rêves d’adolescente dans cette île à laquelle elle est viscéralement attachée ?
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Ce roman retrace les péripéties souvent cocasses d’une fillette métisse se trouvant confrontée à plusieurs styles de vie, à plusieurs modes de pensée et d’éducation. Comment va-t-elle construire sa propre identité ? Pourra-t-elle réaliser ses rêves d’adolescente dans cette île à laquelle elle est viscéralement attachée ? Cette histoire est un témoignage de l’époque tahitienne après la Seconde Guerre mondiale (1945-1955). Elle souligne avec humour et amour les contradictions de la société polynésienne sous influence coloniale.
Pays d'origine : | Polynésie française |
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Edition : | Seconde Édition |
Année de parution : | 2004 |
Nombre de pages : | 400 |
Type de couverture : | Souple |
Finition : | Dos carré collé |
Poids | 580 g |
Dimensions | 220 × 140 mm |
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Marie-Claude Teissier-Landgraf, originaire de Tahiti, a vécu son enfance sur cette île, après la Seconde Guerre mondiale. Elle y a travaillé pendant vingt ans, puis a poursuivi sa carrière à travers la région du Pacifique Sud. Son métier lui a donné l’opportunité de publier des livres professionnels. Depuis quelques années, elle écrit pour son plaisir : des nouvelles dans le mensuel Tahiti Pacifique et dans la revue universitaire Mana (Fidji), ainsi qu’une biographie bilingue (français/anglais) du peintre Nicolaï Michoutouchkine, aux éditions IPS. « Atea roa » est la suite de « Hutu Painu », livre le plus lu par les Polynésiens, après « L’Arbre à pain ».
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